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Martine a lu pour vous
19 juillet 2011

C'est ici que l'on se quitte Le bulletin du 19 juillet

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C'est ici que l'on se quitte   Jonathan Tropper 

Edition livre de poche  parution mars 2011

Traduit de l’anglais par Carine Chichereau

 

4ème de couverture

 

Qu'y a-t-il de pire que d'enterrer son père ? Réponse : passer la semaine qui suit enfermé avec sa propre famille de dingues...

Morton Foxman s'en est allé. Mais avant de mourir, il a exprimé une dernière volonté : que sa famille célèbre la shiv'ah. Sept jours de deuil, ensemble, sous le même toit. Une perspective peu réjouissante pour ce clan qui ne s'est pas retrouvé ainsi réuni depuis... depuis quand déjà ? Judd, qui nage en pleine déprime après avoir découvert sa femme en flagrant délit d'adultère, s'apprête à vivre ce qui pourrait être la pire semaine de sa vie. Il rejoint sa mère, aux talons et décolleté vertigineux; sa soeur Wendy accompagnée de ses gosses hyperactifs et de son mari continuellement scotché à son BlackBerry ; son frère aîné, Paul, atrabilaire, et sa charmante épouse, avec qui Judd a pris un peu de bon temps par le passé; et enfin Phillip, le vilain petit canard, qui se fait aussi rare que discret sur ses activités... Des caractères diamétralement opposés contraints de cohabiter pendant sept jours et sept nuits. Les non-dits, les rancoeurs couvent. Et chacun de prendre sur lui pour ne pas péter les plombs. Famille, je vous hais ! Heureusement, il y en a au moins un qui n'est plus là pour voir ça...

 

Mon avis

Pendant ces sept jours, Judd écrit un journal intime et ainsi introduit le lecteur au cœur de la famille.

Sept jours pour faire le deuil, mais aussi pour se retrouver et peut être pour enfin devenir adultes.

Les enfants Foxman ont des comptes à régler et les vieilles rancœurs, jamais exprimées remontent à la surface. Cette fratrie se querelle, pleure, rit. Le tout est rythmé par les visites du voisinage. Le lecteur ne peut pas rester insensible.

 L’auteur aborde des sujets tel la mort, le divorce, la religion de façon très légère.

Le style est dynamique, humoristique et un peu cynique.

C’est un vrai bonheur. Un roman amusant,  idéal pour les vacances.

 

 

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